Si cela fait déjà un petit temps que je ne donne plus beaucoup de nouvelles sur le blog ou sur Facebook, ma déconnexion s’est encore accélérée avec mon arrivée à temps (plus que) plein chez Impact Santé il y a 1 an désormais.
Et pour cause, les journées déjà bien chargées par le précédent cumul de jobs se sont retrouvées encore allongées de quelques heures de travail. Dans la série « T’as voulu un vélo, tu pédales » : journées de 13-14h, me voilà !
Gestion du quotidien surchargé
La gestion du temps et de mon capital patience au quotidien étaient mes craintes principales en arrivant au magasin.
Entre les multiples formations, la digestion des informations, les diverses nouveautés ainsi que toutes les news sur le site qui en ont découlé : cela a fait un paquet de nouvelles données à traiter. Parallèlement à ça, nous en avons profité pour retravailler nos différentes gammes en profondeur. Un travail quotidien (et perpétuel) plus que conséquent.
Le nombre de tickets journaliers augmente, le téléphone (le répondeur) sature ; les demandes sont de plus en plus larges. Nous sortons de notre zone de confort et le challenge n’en est que plus excitant.
Tout ces nouvelles demandes, ça veut dire pas mal de gens à servir, parler beaucoup, croiser les informations pour conseiller au mieux (c’est large le médical…) : une gymnastique cérébrale qui m’a beaucoup fatigué au début. Heureusement, j’ai pris le rythme (et augmenté mon capital patience).
Si je ne rédige plus sur ce blog, c’est parce que je suis full time sur le site d’Impact après journée. Je ne fais pas de lien particulier avec ce blog, mais si ça vous intéresse, c’est sur www.impactsante.be que ca se passe !
Il m’est difficile d’avancer sur « mes tâches initiales » quand je suis au magasin, car rédiger demande un minimum de calme (Une denrée très rare au quotidien 😀 ) et, surtout, qu’il n’y ait rien d’autre à faire. Bref, je bosse en soirée.
Je n’ai quasi plus le temps de jouer de la musique, ma vie sociale se résume au strict minimum… avec une situation familiale parfois compliquée avec la santé du paternel qui se dégrade (cf SLA – comme une douche froide). C’est pas évident tous les jours… on va pas se mentir !
La reconnaissance d’un travail bien fait
Heureusement, les efforts sont récompensés.
Nous sommes bien aidés par notre concurrent direct dans la région, qui s’obstine à mal servir les patients et à fâcher les prescripteurs ; bref à faire du travail de merde (je ne peux pas le dire sur le blog du magasin, mais ici… appelons un chat, un chat.).
Du coup, pas besoin de publicité ou d’aller démarcher : il y a une demande naturelle pour une alternative de qualité en matière de matériel médical sur le Grand Verviers. C’est vous dire, on a hésité à leur envoyer des pralines à Noël dernier… Merci les gars, on n’en demandait pas tant ! Ca nous sert de leçon pour l’avenir et la manière d’envisager de grandir ou d’élargir nos services.
Après 1 an dans l’entreprise familiale, les résultats sont excellents et laissent présager une bonne croissance pour la suite. Les clients sont contents et le bouche à oreille continue à faire son oeuvre.
Pourvu que ça dure… et qu’on trouve enfin un rythme de croisière moins effréné 😀